Calais était une impasse pour ceux qui ne rêvaient que d’Angleterre. Lors de mon passage au mois de janvier 2016, la Jungle comptait environ 5000 migrants. Malgré les conditions, la vie sociale s’organisait. Restaurants, épiceries, coiffeurs… les petits commerces fleurissaient dans cette ville improvisée.

Voici les visages de ces personnes qui ont décidé, même pour quelques mois, de se créer une économie qui par la même occasion apportait un minimum de services ainsi que des lieux de convivialité aux réfugiés.