“ Ô Aphrodite, tu m’infliges encore tes pires sorcelleries,
La sève dans mon coeur bout sous l’écorce,
Penses-tu sincèrement que j’ai récupéré assez de forces ?
Ou, de ses flèches, ton fils a marqué sur mon torse :”maudit” ?
Combien de coquillages dois-je t’offrir ?
Combien de fleurs dois-je te cueillir ?
Pour qu’enfin, tu m’accordes son sourire.”