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[ALUMNI] Cloé Harent, Lauréate du Prix Tremplin Jeunes Talents

2024-11-21

Cloé Harent est née en 1998 dans le Sud-Ouest, fille de danseurs classiques, elle immergée dès son enfance dans un univers où l’art est un moyen d’expression fondamental. Après une formation à l'ETPA de Toulouse, où elle obtient son diplôme en 2019, elle se distingue dès cette année-là par le Prix Spécial du Jury du Grand Prix ETPA. Depuis, sa carrière connaît une ascension fulgurante, marquée par une série de résidences et de distinctions qui la placent parmi les jeunes talents les plus prometteurs de sa génération.© Cloé Harent, Bruit Rose, Planches Contact 2024Bruit rose, Planches Contact 2024 © Cloé HarenUn tremplin vers de nouveaux horizonsCloé Harent a été récompensée par le Prix Tremplin Jeunes Talents du festival Planches Contact 2024 à Deauville. Le Tremplin Jeunes Talents de Planches Contact, qui permet à des photographes émergents de bénéficier d’une résidence à Deauville. Un prix décerné par un jury d'experts, présidé par la photographe Sarah Moon. Le travail de C. Harent a captivé les membres du jury, qui ont salué sa capacité à saisir, avec poésie et sensibilité, les liens subtils entre l’Homme et la nature. Une série inédite intitulée Bruit rose qui révèle la richesse fragile des écosystèmes littoraux normands, en particulier ceux des estrans, ces zones de transition entre terre et mer.En capturant ce monde microcosmique souvent négligé, Cloé Harent invite le spectateur à une contemplation de la biodiversité, tout en soulignant la fragilité de cet équilibre naturel. Les estrans apparaissent comme des espaces poétiques où la vie, dans sa plus petite forme, lutte pour subsister. Son regard attentif transforme ces éléments en une exploration sensorielle, où chaque image semble suspendue dans le temps.Bruit rose, Planches Contact 2024 © Cloé HarenUne démarche intuitive et sensibleLors de sa résidence à Deauville, elle raconte l’émerveillement qu’elle a ressenti face aux coquillages et autres objets laissés par la mer. Sa série Bruit rose est une œuvre qui invite à réfléchir sur l’impact du temps et des marées sur la vie maritime et la biodiversité locale. Elle propose une approche attentive sur les traces que l’Homme et la nature laissent sur notre environnement.Le jury de Planches Contact n’a pas manqué de souligner la singularité de son travail, décrivant l’approche de C. Harent comme une invitation à découvrir un « Deauville de l’infiniment petit, où mollusques, lichen, anémones » se révèlent dans toute leur beauté. Cloé Harent choisit de se concentrer sur les traces minuscules laissées par les marées : coquillages, algues, et autres débris organiques que l’océan dépose sur la plage. Ces fragments, que la mer rejette et que le temps façonne, deviennent les témoins d’une vie invisible.Bruit rose, Planches Contact 2024 © Cloé HarenUn regard neuf sur le monde vivantÀ travers son travail, Cloé Harent propose un regard neuf sur le monde vivant, où l’intuition et la sensibilité sont les clés pour appréhender la beauté fragile de notre environnement. Bruit rose est un hommage photographique à la puissance et à la fragilité de la nature. Sa démarche sensible, fondée sur la contemplation, nous invite à découvrir les richesses cachées de notre planète.Le travail de Cloé Harent rappelle que l’art, par sa capacité à révéler l’invisible, a un rôle essentiel à jouer dans la prise de conscience environnementale. Sa capacité à capturer la poésie de la nature et à créer un dialogue visuel entre l’Homme et l’environnement, fait d'elle une des artistes à suivre de près dans les années à venir. 

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[WORKSHOP] L'art du portrait avec Yann Rabanier à l’ETPA

2024-11-05

Nous avons récemment accueilli Yann Rabanier, ancien élève à l'ETPA aujourd'hui portraitiste reconnu ayant photographié des personnalités comme Marion Cotillard, Adam Driver, Ryan Reynolds et autres, pour un workshop entièrement dédié au portrait. Ce workshop captivant a permis aux étudiants de se confronter aux réalités de la prise de vue professionnelle et d’affiner leur approche du portrait.Session en studioPremière approche : diagnostic et inspirationLe workshop a débuté par une évaluation des compétences de chaque étudiant. Yann Rabanier commence d'abord par examiner des clichés faits par les étudiants, de discuter des démarches créatives, et de mesurer le niveau de chacun, un préambule essentiel pour adapter son accompagnement aux besoins individuels. Viens ensuite au tour du professionnel de présenter son propre travail, expliquant ses techniques et sa façon de travailler à travers l'observation de son travail. Par des exemples concrets, il décortique les coulisses de certaines de ses photographies, en abordant des aspects essentiels comme la gestion des modèles, les relations avec les clients et les attachés de presse, mais aussi la préparation et les ajustements lors des séances de prise de vue.La pratique : sessions en studio et en extérieurAprès cette introduction inspirante, les étudiants passent à la pratique avec des séances de portrait en conditions réelles. L’exercice se déroule à la fois en studio, avec cinq postes installés pour l’occasion, et en extérieur, permettant de varier les contextes et les ambiances.La difficulté de l'exercice réside dans le temps donné aux étudiants qui ont dû composer avec des contraintes de plus en plus serrées pour les habituer à tout type de commande possible. Ils commencent d'abord par des sessions de 30 minutes, puis enchaînent sur des séances de 10, 5, et même 2 minutes. Ce rythme accéléré, inspiré des conditions de travail en environnement professionnel, les a forcés à gérer non seulement la technique photographique, mais aussi la relation avec le modèle et le stress du timing serré. S'en suit ensuite l'analyse des travaux et la correction de certains points en groupe afin d'apprendre globalement les uns des autres.Session en extérieurUn apprentissage immersif et transformateurL’objectif de ce workshop était clair : libérer les étudiants de leurs hésitations dans la gestion des modèles, en les plaçant dans des conditions de celles d’une commande professionnelle. En les poussant à réagir face aux aléas, à gérer la pression du temps et les imprévus, Yann Rabanier leur a permis d’acquérir une assurance précieuse. Au fil des sessions, l’évolution des étudiants est flagrante, et leurs progrès témoignent de l’efficacité de cette immersion dans l’univers exigeant du portrait photographique.Évaluation en groupe des rendus finaux 

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Victor Ferré, ancien de l'ETPA, photographie Pierre Niney pour Silhouette Magazine

2024-10-29

Dans le cadre du Numéro 10 Spécial Mode Héroïnes littéraires du Magazine Silhouette, Victor Ferré, ancien étudiant de l’ETPA, a eu l’opportunité de réaliser un portrait de Pierre Niney, acteur français emblématique et égérie de la marque Lacoste. La séance s’est déroulée dans l’intimité feutrée d’une chambre d’hôtel parisienne, offrant un cadre propice à un portrait sobre et élégant.Confronté à un timing serré, Victor disposait de quinze minutes pour capter l’essence du comédien et saisir le naturel raffiné qui le caractérise, tout en étant entouré de l'équipe Lacoste et de l’agent de l’acteur, ce qui rendait l’exercice aussi exigeant que stimulant.Un parcours entre nature et modePhotographe basé à Paris, Victor Ferré est un artiste dont le regard se distingue par une alliance subtile entre l’esthétique de la mode et l’approche brute du reportage. Ayant grandi au pied des Pyrénées, il puise son inspiration dans la nature sauvage de son enfance, une influence qui se reflète dans la sensibilité et la profondeur de ses compositions. Diplômé du Cycle Praticien Photographe de l’ETPA en 2022, il décide de répondre à l’appel de la capitale et plonge directement dans le monde professionnel de la photographie de mode.Un style authentique en évolutionDepuis, Victor Ferré multiplie les collaborations avec des marques et des magazines prestigieux comme Guerlain, Dior, Hermès etc. construisant un univers où chaque projet s’inscrit dans une continuité visuelle et narrative malgré la diversité des sujets abordés. Son travail pour Silhouette et Lacoste illustre cette capacité unique à tisser des liens harmonieux entre style et authenticité, une signature qui caractérise ses œuvres.Un jeune photographe prometteurCe portrait de Pierre Niney, immortalisé pour Silhouette Magazine dans le cadre de la sortie de du nouveau parfum Lacoste, est une étape supplémentaire dans la carrière de Victor, et nous lui souhaitons encore de beaux projets comme celui-ci !Retrouver son travail sur Instagram ou son site internet ! 

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Festival Planches Contact à Deauville : deux alumni exposent leurs œuvres !

21 octobre 2024

Deux anciennes étudiantes de l'ETPA, Cloé Harent et Sara Imloul, seront mises à l'honneur lors du festival de photographie Planches Contact à Deauville, du 19 octobre 2023 au 5 janvier 2024. Ce festival,qui perdure depuis déjà 14 ans, met cette année en lumière le talent de ces deux artistes, chacune présentant une œuvre singulière, fruit de résidences créatives sur les terres normandes.Cloé Harent : une exploration photographique des estrans normands© Cloé Harent, Bruit Rose, Planches Contact 2024Lauréate du Prix Spécial du Jury ETPA en 2019, Cloé Harent a été sélectionnée pour le Tremplin Jeunes Talents 2024 organisé par le festival, une opportunité unique pour de jeunes photographes de développer un projet inédit lors d'une résidence en Normandie. Sa série intitulée Bruit rose sera exposée au festival, offrant aux visiteurs une immersion dans la beauté fragile et éphémère des estrans normands. Cloé capture à travers ses photographies des micros-paysages marins, façonnés par le mouvement des marées, en révélant les subtilités de la biodiversité locale.Sara Imloul : mémoire de l’eau et imaginaire oniriqueArtiste photographe reconnue, Sara Imloul fait partie des artistes invités en résidence et présentera deux séries lors du festival, "La Mémoire de l’Eau" et "Das Schloss", œuvres qui mêlent autobiographie, et exploration des paysages de Deauville. S'inspirant de la théorie selon laquelle l’eau possède une mémoire capable de conserver des informations pour toujours, "La Mémoire de l’Eau" explore les liens entre mémoire, rêves et souvenirs. Sara s’appuie sur une approche allégorique pour créer une œuvre visuelle introspective, en utilisant des procédés photographiques anciens comme le calotype pour réaliser ses images en noir et blanc, caractéristiques de son style unique.Les plages, les murs, les surfaces de Deauville sont des pages blanches, des planches à dessiner, à rêver, pour fonder le théâtre de cette nouvelle série autobiographique et allégorique en lien direct avec ces éléments naturels si particuliers .Sara ImloulLe festival Planches ContactPlanches Contact est depuis sa création un festival dévoué à la création contemporaine. En soutenant des résidences d’artistes, il permet à des photographes de revisiter le territoire normand avec des projets inédits. Cette année encore, neuf artistes internationaux y sont invités pour présenter leur travail, avec des expositions conçues spécialement pour différents lieux emblématiques de Deauville.L’inauguration du festival aura lieu le week-end du 25 au 27 octobre 2023, un moment important pour les deux anciennes étudiantes de l'ETPA, Sara Imloul et Cloé Harent, qui présenteront le fruit de leur travail fait en résidence. Mise à jour : Un grand bravo à Cloé qui a remporté le Prix du Jury de ce Tremplin Jeunes Talents 2024 !© SANDRINE BOYER ENGELInfos Pratiques : Du 19 octobre au 5 janvier 2025Soirée d'ouverture du festival : 25 octobre 2024 - 19h30 - Les Franciscaines

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[ALUMNI] Un ancien étudiant de l'ETPA expose à la Sorbonne : Recherche sans filtre

08 octobre 2024

Grégoire Delanos, photographe plasticien et diplômé de l'ETPA en 2018, fait partie des sept artistes sélectionnés pour une commande photographique prestigieuse initiée par Sorbonne Université. Ce projet intitulé Recherche sans filtre réunit des photographes renommés autour de 82 projets de recherche, mettant en lumière des travaux scientifiques à travers le prisme de la photographie.Evo-AquaSense © Grégoire DelanosGrégoire Delanos : entre solastalgie et photographie expérimentaleGrégoire Delanos réside en Auvergne, où son travail explore la solastalgie, un néologisme décrivant la douleur morale causée par la perte irréparable des écosystèmes d’un territoire. Il utilise des protocoles photographiques expérimentaux et travaille avec le vivant pour capter ces émotions à travers ses images. Cette approche singulière et poétique trouve écho dans le projet Recherche sans filtre, où il a collaboré avec 13 équipes de recherche dans des disciplines variées telles que la biologie marine, la paléoclimatologie, l’entomologie, l’écologie, l’astrophysique et la géologie. Ses photographies incarnent un dialogue entre science et art, intégrant les outils et matériaux de recherche dans le processus de création.ColMhyBio © Grégoire DelanosUn projet unique mêlant arts et sciencesRecherche sans filtre est un projet soutenu par le programme Sorbonne Université Arts Visuels et Expériences Scientifiques (SUAVES), sélectionné et financé par l’Agence Nationale de la Recherche en 2022 pour une durée de trois ans (2023-2025) en partenariat avec Fisheye Magazine. Les photographes impliqués ont suivi les chercheurs et chercheuses sur leurs lieux de travail, qu'il s'agisse de laboratoires, bibliothèques, ou même de terrains de recherche. À travers leurs objectifs, ils capturent le quotidien de ces scientifiques et le transforment en images documentaires, poétiques et mystérieuses, suscitant autant de découvertes que d’émotions.Le corpus photographique obtenu est impressionnant, avec un total de 820 photographies issues de 82 projets de recherche. Le premier "livrable" de ce projet est l'exposition Recherche sans filtre, où 82 des images seront présentées autour de six grands thèmes, allant des espaces de recherche aux relations humaines en passant par l’instrumentation et les données.Écologie et Évolution des populations de mésanges en Île-de-France © Grégoire DelanosL'expositionL'exposition Recherche sans filtre se tiendra à l'Atrium du campus Pierre-et-Marie-Curie de Sorbonne Université (Paris 5e) du 10 octobre au 4 novembre 2024, en partenariat avec Fisheye Magazine. Elle offrira au public une traversée visuelle au cœur de la recherche contemporaine à travers des œuvres à la fois artistiques et scientifiques. Le vernissage aura lieu le 9 octobre à 18h30, avec la présence des artistes et des scientifiques pour échanger autour de leurs collaborations.Infos pratiques :Exposition : Recherche sans filtreLieu : Atrium du campus Pierre-et-Marie-Curie, Sorbonne Université, Paris 5e (Métro Jussieu)Vernissage : Le 9 octobre à 18h30Dates : Du 10 octobre au 4 novembre 2024Horaires : Du lundi au samedi, de 9h à 19hEntrée librePour les passionnés de sciences, d’art et de photographie, cette exposition promet d’être un moment unique de partage et de découverte, offrant un regard nouveau sur la recherche d’aujourd'hui.

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Deux anciens étudiants de l’ETPA sélectionnés pour le Mentorat Photographique du Fonds Régnier pour la Création

26 septembre 2024

L’ETPA est fière d’annoncer que deux de ses anciens étudiants, Clément Gatimel et Pablo Gubitsch, ont été sélectionnés pour la 5e édition du Mentorat Photographique (MP#05) organisé par le Fonds Régnier pour la Création en partenariat avec l’Agence VU’. Ce programme prestigieux, lancé en 2020, soutient la photographie émergente en accompagnant de jeunes talents dans le développement de leur pratique artistique et de leur carrière professionnelle.Un tremplin pour la photographie émergenteLe Mentorat Photographique est un dispositif unique conçu pour repérer et soutenir des photographes prometteurs. Pendant neuf mois, d'octobre 2024 à juin 2025, les cinq photographes sélectionnés bénéficieront d’un accompagnement personnalisé, combinant l’encadrement de photographes-mentors, des consultations d’experts, des ateliers collectifs et des rencontres professionnelles.Clément Gatimel : un dialogue avec l’identité et l’exilDiplômé de l’ETPA, Clément Gatimel est passionné par la photographie depuis son plus jeune âge. Né en 1998 à Toulouse, il a grandi entre la France et l’Espagne, ce qui influence profondément son travail. Ses œuvres explorent les thèmes de l’exil, de l’identité et des secrets familiaux. Son approche photographique est nourrie par des références aussi diverses que Pedro Almodóvar, Jane Evelyn Atwood ou encore le Caravage.Pour le Mentorat Photographique, Clément poursuivra son projet sur Baye, un homme sénégalais ayant vécu en France, et sur la quête de sa fille, Mariama, qui cherche à comprendre l’histoire et l’absence de son père après son décès. Ce projet sensible et personnel propose une réflexion sur les racines et l’absence, tout en révélant des vérités cachées à travers la photographie.Clément GatimelClément GatimelClément GatimelPablo Gubitsch : la sociologie de l'intimeAutre talent issu de l’ETPA, Pablo Gubitsch a débuté son parcours par une passion pour le cinéma avant de s’orienter vers la photographie. Diplômé en 2024, Pablo a affiné sa technique à l’ETPA en se concentrant sur le reportage social et le photojournalisme, avec des stages dans des rédactions telles que Le Monde et l’AFP.Pour le programme MP#05, Pablo développera un projet documentaire intitulé Dans ma ville on traîne, une exploration photographique de l’ex-bassin minier lorrain, sa région natale. En s’intéressant à la jeunesse qui y vit, entre isolement et incertitude, Pablo allie une dimension intime à une approche sociologique et poétique.Pablo GubitschPablo GubitschPablo GubitschUne reconnaissance pour l’ETPA et ses talentsLa sélection de Clément et Pablo pour ce prestigieux mentorat est une grande fierté pour l'ETPA. En intégrant ce programme d’accompagnement d’excellence, ces jeunes photographes vont pouvoir affiner leurs projets et inscrire leur travail dans le paysage de la photographie contemporaine.L’ETPA adresse ses plus sincères félicitations à Clément et Pablo pour cette belle réussite et suivra avec attention leur évolution au sein du Mentorat Photographique.Rendez-vous en juin 2025 pour découvrir les projets aboutis lors de l’événement public qui clôturera cette cinquième édition du MP#05.

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[EXPO] Pablo Gubitsch expose à la galerie Photon

17 septembre 2024

La galerie Photon, située à Toulouse, accueille une nouvelle exposition marquante du 19 septembre au 12 novembre 2024, mettant en lumière les œuvres de Pablo Gubitsch, Grand Prix Photo 2024 de l'ETPA. Cette exposition est une tradition annuelle qui permet à chaque gagnant du Grand Prix Photo ETPA de présenter son travail au grand public dans les mois suivant la remise de son prix depuis déjà 18 ans.Pablo GubitschLe Sanctuaire : l'isolement moderneLa série Le Sanctuaire, réalisée par Pablo Gubitsch, se distingue par son approche personnelle et engagée. Dans cette série photographique, Pablo s’intéresse à la commune de Nançay, un village de 800 habitants situé dans le Cher. Cette petite commune vit une situation quasi-unique en France : elle est considérée comme une "zone blanche" (zone non-desservie par un réseau mobile ou par internet), coupée du reste du monde en raison des restrictions imposées par la présence d’une station de radioastronomie à proximité.Nançay, dans le Cher, un petit village de huit-cents âmes... Des retraités, des commerces qui périclitent comme partout ailleurs et aucune connexion au réseau mobile à moins de deux heures de la capitale...Impossible d’y construire des antennes relais : une station de radio-astronomie est installée à l’orée du village depuis les années cinquante. Elle y récupère des données essentielles sur la création des galaxies... Les Nançayais, ne pouvant pas téléphoner et communiquer avec le monde extérieur, se trouvent forts démunis. La résistance s’organise, mais la lutte de David contre Goliath, Nançay contre l’univers semble partie pour durer.Vernissage et informations pratiquesLe vernissage se tiendra le 19 septembre 2024 à 19h au Labo Photon, 8 rue du Pont Montaudran, à Toulouse. Cet événement marquera l'ouverture de l'exposition qui sera accessible au public jusqu’au 12 novembre 2024.Exposition : du 19 septembre au 12 novembre 2024Vernissage : 19 septembre à 19hLieu : Labo Photon, 8 rue du Pont Montaudran, ToulouseOuverture : du lundi au vendredi, de 8h00 à 19h00Ne manquez pas l’occasion de découvrir l’univers de Pablo Gubitsch, avec cette série à la fois actuelle et intemporelle, qui explore les frontières entre isolement et modernité. 

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L'ETPA : Une École exceptionnelle pour des regards uniques

17 septembre 2024

Nous avons le plaisir de vous dévoiler notre nouvelle identité visuelle, qui s’inscrit dans la continuité de notre mission : former des photographes d’exception. Après 50 ans d’excellence dans l’enseignement de la photographie, nous avons décidé de revisiter notre image avec un nouveau logo et une charte graphique modernisée. Ce changement symbolise notre engagement à évoluer avec notre temps tout en restant fidèles à nos valeurs fondamentales : l’excellence technique, la créativité et l’émotion.Notre manifeste : trouver son styleÀ l’occasion de cette transformation visuelle, nous avons également souhaité exprimer plus profondément notre philosophie à travers un manifeste :Trouver le bon angle requiert une grande maîtrise, trouver son style demande du temps : pratiquer, tester, créer, imaginer, encore et encore.Si de la chambre noire à la lumière, il n’y a qu’un pas, c’est l’excellence technique qui est le socle de la création.Devenir photographe, c’est donner une place centrale à l’émotion. C’estlui attribuer un rôle fort au cœur de son travail et de son art, exprimer la sienne et la faire naître chez l’autre. C’est se créer un cadre, pour mieux en sortir.C’est cultiver sa singularité, pour offrir son regard au monde.C’est savoir témoigner de son époque, pour la raconter en images.Depuis 50 ans, nous vous apprenons à capturer les instants qui nous échappent, à les figer dans le temps, comme une promesse d’éternité. Dans une société saturée d’images, où l’immédiateté devient la norme, nous invitons nos étudiants à se former avec patience, pour mieux ressentir le monde qui les entoure, et pour un jour le réinventer.Notre objectif : vous porter jusqu’à l’excellence. L’ETPA se veut être un lieu d’études où l’on enseigne avec passion la pratique et les techniques de la photographie, mais également un lieu de réflexion élargie au champ culturel de l’art en général.Et parce que la photographie se vit sur le terrain, dans la rencontre humaine et dans l’échange sincère, c’est ensemble que depuis 50 ans, nous continuons à écrire notre histoire, en vous accompagnant à vivre la vôtre.Une école exceptionnelle pour des regards uniques.Prendre le Temps dans un Monde d’ImmédiatetéDans une société où l’image est omniprésente et l’immédiateté une norme, nous incitons nos étudiants à ralentir, à observer, à ressentir avant de photographier. Notre objectif est de les porter jusqu’à l’excellence, en leur offrant les outils et l’accompagnement nécessaires pour développer leur propre langage visuel.Une École Exceptionnelle pour des Regards UniquesDepuis 50 ans, nous écrivons ensemble une histoire où chaque étudiant apporte sa propre vision du monde. Nous leur apprenons à capturer ces instants précieux qui échappent au quotidien, et à les figer dans le temps comme une promesse d’éternité. En tant qu’école, nous restons à leurs côtés, à la fois comme formateurs et comme partenaires, tout au long de leur parcours artistique.Avec cette nouvelle identité visuelle, nous renforçons notre engagement à former des photographes capables de voir le monde autrement et de le raconter à travers des images. C’est ensemble que nous continuons à écrire notre histoire, et c’est en vous accompagnant que nous vivons la vôtre.

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L'ETPA aux Rencontres Image et Environnement

09 septembre 2024

Du 13 au 15 septembre, l’ETPA s’invite aux Rencontres Image et Environnement organisé par Zone I, un événement festif dédié à la photographie et à la création. Ces trois jours de célébration promettent une immersion totale dans le monde de la photo avec un programme varié et captivant.RIE, 2023 ©Cloé HarentL'ETPA et ses anciens étudiants sur place- Présentation de l’École : Le vendredi 13 septembre, Pierre Barbot et Philippe Grollier, accompagnés de Pablo Gubitsch et Nicolas Grimoin, présenteront l’ETPA et les travaux des lauréats du Grand Prix Photo 2024 au public.Pablo GubitschNicolas Grimoin- Collectif TRIGONE - À l’Origine du Cœur : Fondé par Paul Baudon, Anthony Jean et Marianne Thazet, trois anciens étudiants de l’ETPA, le Collectif Trigone proposera une expérience unique aux visiteurs. La caravane abritant leur laboratoire accueillera le public tout au long du week-end, offrant à chacun la possibilité de repartir avec une photographie capturant la pulsation de son cœur.Paul Baudon - À l'origine du coeur- Photo-concert avec Arno Brignon : Comment une photographie peut-elle perdre sa mémoire, et pourquoi s’attache-t-elle tant à conserver les fragments de nos vies les plus personnelles tout en jouant avec le temps ? Ces réflexions guideront Arno Brignon, ancien étudiant à l'ETPA et Grand Prix Photo 2009, et Rodrigo Gomez Rovira dans une exploration artistique autour du thème de la mémoire, chacun offrant sa propre interprétation.Rodrigo Gomez Rovira revisitera l’histoire familiale à travers l’album photographique de son grand-père, disparu, reliant ainsi son travail à ses racines, de la Terre de Feu à l'Amérique du Nord, tandis qu'Arno, nous emmènera dans un road trip en compagnie de sa famille, où il saisira des moments de vie qui viennent redéfinir les liens familiaux et la notion de voyage.Pour accompagner ces récits photographiques, le duo Bertolino Le Gac composera une création musicale originale, mêlant vielle et flûte traversière dans une transe acoustique captivante. Ensemble, ils tisseront une conversation entre images et sons, où la musique viendra sublimer les récits photographiques.Arno BrignonSuite du programmeLes Rencontres Image et Environnement s’animeront avec un programme riche et diversifié : Workshops, fanfare, conversations autour de la photographie et de la création, projections de films, sans oublier la restauration et la buvette en circuit court. Ces festivités sont l’occasion de célébrer la photographie sous toutes ses formes et de rencontrer des passionnés et des professionnels du milieu.Rejoignez-nous pour célébrer la photographie, échanger et découvrir des œuvres inspirantes faites par nos anciens étudiants et d'autres artistes de renom lors de cet événement incontournable festif !Informations pratiquesLieu : Moulin de la Fontaine, 41100 Thoré-La-RochetteDate : Du 13 au 15 septembre 2024

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Une étudiante de l'ETPA expose à Paris !

26 juillet 2024

Jeremiah Karen étudiante à l'ETPA en section Praticien Photographe expose sa série "Il est temps d'en parler" ainsi qu'une sélection d'autres photos à Paris. Une occasion pour elle de présenter son travail à un public et de voir ses œuvres physiquement exposées dans un lieu dédié !© Jeremiah KarenUn parcours singulier et inspirantAprès avoir obtenu un master en Management de la stratégie digitale, Karen a temporairement mis de côté sa carrière photographique pour des raisons personnelles. Traversant une période de dépression, elle a par la suite trouvé dans la photographie un moyen d'expression. Cette période difficile a inspiré sa série poignante intitulée Il est temps d'en parler, composée de cinq images puissantes qui illustrent son vécu durant cette période sombre. Il est temps d'en parler : Une prise de parole sur la santé mentaleLa série Il est temps d'en parler aborde les thèmes de l'isolement et de la souffrance silencieuse. Jeremiah exprime à travers ses images le sentiment de solitude qu'elle a ressenti, choisissant de ne pas partager son combat avec ses proches pour les protéger. Ces autoportraits capturent de manière saisissante l'expérience intime de la dépression et l'importance de briser le silence autour de la santé mentale.La célébration de la culture afroOutre sa série sur la santé mentale, Karen est également une artiste passionnée par la culture afro, qu'elle célèbre à travers son art. En tant que photographe d'origine ivoiro-ghanéenne, ses influences lui viennent en partie de son père, qui lui a transmis sa passion pour la photographie dès son plus jeune âge. Cette richesse culturelle est présente dans les autres portraits en dehors de sa série qu'elle présentera lors de l'exposition collective.© Jeremiah KarenInformations Pratiques Date : du 19 au 23 Août 2024Horaires : 10h30 - 19hLieu : Espace Kiff & Marais - 17 Rue des Gravilliers, 75003 ParisOuvert au public Entrée GratuiteNous vous invitons chaudement à découvrir le travail de Jeremiah, cette exposition est une occasion unique de plonger dans son univers artistique et d'aborder le sujet de la santé mentale.

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L'ETPA 50 ans d'histoire en photos de classe !

24 juillet 2024

C'est une tradition à l'ETPA pour nos étudiants en 3ème année d'Approfondissement Photographique : l'incontournable photo de classe ! Chaque année, cette initiative devient un projet créatif majeur où chaque détail est soigneusement réfléchi : thème, mise en scène, accessoires, éclairage et retouche. Rien n'est laissé au hasard pour capturer l'essence même de la classe, et c'est une nouvelle fois une réussite car nous ressentons une belle ambiance au sein de cette promotion 2023-2024.La photo de classe 2024 : d'une précision chirurgicaleLa photo de classe de cette année 2024, se distingue par son originalité et son sens de l'humour. Notre équipe pédagogique est toujours présente soit à travers des petits détails comme sur le tableau dessinés, ou bien au centre de l'image allongé prêt à se faire découper par les étudiants vêtus de blouses blanches de laboratoire.Chacun s'adonne à une activité excentrique et scientifique, créant une scène à la fois chaotique et organisée aux allures de Dexter. Tout est réfléchi pour apporter cette atmosphère lugubre et déjantée à la fois, des lumières aux bâches en fond, en passant par les accessoires et la fumée. La photo est d'une précision chirurgicale, soulignant son caractère théâtral et professionnel. Retour sur les photos de classe les plus marquantes de l'ETPAAu fil des années, certaines photos de classe de l'ETPA sont devenues emblématiques par leur créativité et leur exécution. Voici quelques exemples notables :2010 : la Liberté guidant la photo2014 : Tous en rang 2016 : On sort sa marinière2021 : Tous en scèneTémoins de 50 ans d'expérience, les photos de classe sont emblématiques de l'école et représentent l'état d'esprit, la créativité et le professionnalisme dont font preuve les étudiants à la fin de leur cursus. Chaque promotion laisse sa marque unique, contribuant à la riche tradition photographique de l'ETPA. Nous avons hâte de découvrir les futures créations des étudiants, qui continueront sans aucun doute à repousser les limites de l'imaginaire !

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[ALUMNI] Un ancien étudiant sélectionné pour la semaine d’ouverture des Rencontres d’Arles 2024.

08 juillet 2024

Mathis Benestebe, ancien élève et Mention spéciale lors du Grand Prix Photo ETPA en 2023, a été sélectionné pour présenter sa série « Ventricule gauche » pour la semaine d’ouverture des Rencontres d’Arles 2024, dans le cadre de l’exposition 10/10 présenté par l’Archevêché by Fisheye.Pour la semaine d’ouverture des Rencontres d’Arles 2024, soit du 1er au 7 juillet, Archevêché by Fisheye a présenté l’exposition 10/10, qui met en avant les œuvres de dix jeunes artistes prometteurs, sélectionnés parmi les écoles de photographie les plus renommées en France et à l’international.Cette exposition a permis de découvrir un panorama hétéroclite de photographes en devenir, aux perspectives et sensibilités très différentes, mais aussi aux formations académiques diverses et imprégnées de multiples inspirations et références.Mathis Benestebe, ancien étudiant à l'ETPA, a été sélectionné comme l'un des dix jeunes artistes mis en lumière lors de cette exposition, à l'Archevêché by Fisheye, un espace emblématique des Rencontres Photographiques d'Arles.Mathis Benestebe devant plusieurs travaux de sa série "Ventricule gauche" présentée à l'Archevêché by Fisheye aux Rencontres Photographiques d'Arles ©Philippe GrollierSon travail artistique, centré sur l’intime, l’autobiographie et le manque, explore le sentiment de contenance à travers l’expérimentation de l’image. La photographie, pour lui, est une preuve tangible de sa propre réalité. Photographe du contrôle, Mathis aime penser et prévoir chaque détail de ses compositions, choisissant avec soin chaque élément pour matérialiser des symboles impalpables à la recherche de l'émotion là où elle se cache.Pour cette exposition, Mathis a présenté son projet intitulé Ventricule gauche. Ce projet explore les émotions et les états intérieurs avec une profondeur et une sensibilité unique. Voici un extrait du texte accompagnant ses œuvres :J’aimerai comprendre pourquoi tu trouves mon visage neutre si malheureux.Peut-être que tu y vois l’ennui de celui qui s’ignore.Un jour peut-être, je ressentirai cette déception d'être absent.Je t’ai offert une tulipe pour nos trois ans.Si je tombe ce masque de fer, est-ce que tu me reconnaîtrais ?Ces dernières années, mes rares larmes portaient ton nom.Et avant, je ne sais pas.Il en faut du temps pour sortir de cette apnée.© Pierre Barbot /ETPA©Pierre Barbot /ETPACette exposition a été rendue possible grâce au soutien précieux de Canon, permettant à ces jeunes talents de présenter leurs visions uniques au public. Pour plus d'informations sur l'exposition et les projets de Mathis Benestebe, rendez-vous sur son site internet et sur Instagram. 

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[ALUMNI] Une ancienne étudiante organise une exposition dans sa galerie photo à Arles

02 juillet 2024

Après avoir fondé en 2021 sa propre Galerie Photo sous le nom de Galerie Triangle à Arles, l’ancienne étudiante Nadège Tixier-lamaison organise l'exposition "CHANGE" jusqu’au 14 juillet à Arles ! Cette exposition réunit sept artistes photographes qui explorent le thème urgent et poignant du changement climatique à travers leur œil de photographe.©Bastien AnguianoUne vision et une missionNadège Tixier-lamaison, diplômée de l’ETPA en 2012, a parcouru l'Europe et au-delà, en capturant des moments uniques avec son objectif. Elle décide de poser ses valises à Arles en 2021 en y fondant la Galerie Triangle. Sa mission : promouvoir des artistes émergents, organiser des expositions, des conférences et divers événements autour de la photographie.Exposition "CHANGE" : Un rendez-vous à ne pas manquerLa Galerie Triangle présente l'exposition "CHANGE", jusqu’au 14 juillet au 65 quai de la Roquette, Arles. Cette exposition réunit sept photographes apportant leur vision poétique dans le constat alarmant de l’urgence climatique.Le soleil s'écrase, il frappe à notre porte, il nous assoit, nous rend malades, nous dessèche, cache-toi et CHANGE. À nos frontières il désertise, à nos vacances il détruit tout. Les éléments s’affolent, se déchainent, avertissent, punissent, déversent leur puissance indéniable, nous rendent tout petit, tout petit que nous sommes. Ils nous survivront, mais toi… CHANGEJ’étouffe. Ta beauté suprême ne suffit plus à nous convaincre, nos petites habitudes, nos grands coups de gueule, nos larmes inaudibles, nos angoisses permises. Nous suffis-tu alors ? CHANGEEt si dans un élan cet espoir nous revient, qu’on laisse devant nous un destin un peu viable. Différent, obligé, comme un vase cassé dont les failles deviennent sa beauté destinée, comme une envie commune de tout reconstruire, d’éradiquer les monstres qui pourrissent un ensemble. On a prouvé quelques fois qu’on en était capable, le sera-t-on encore ? Puis toi, CHANGE.Texte de NADÈGE TIXIER-LAMAISONLes artistes et leurs œuvresThéo Giacometti : "Pour qui chanteront les sirènes ?", une réflexion sur la montée des eaux en Camargue.Collectif Phosphore (Sarah Witt & Matthieu Fares) : Une série poétique sur l'approvisionnement en eau potable des îles méditerranéennes.Dana Tentea : Une immersion dans la vie des femmes marocaines cultivant des roses pour soutenir leur indépendance.Nicolas Serve : Un documentaire photographique sur les tornades.Maxime Riché : "Paradise", un témoignage des incendies de 2018 en Californie.Tobias Canales : Une série argentique en noir et blanc sur les villages désertés et arides d'Espagne.Une galerie engagéeLa Galerie Triangle repose sur des valeurs fortes d'égalité, de parité et de rémunération équitable des photographes. Nadège Tixier-lamaison s'efforce de maintenir une qualité éditoriale tout en respectant ses engagements et valeurs. Tous les partenaires de la galerie sont basés en France, renforçant ainsi son engagement local.Nous vous invitons à découvrir cette exposition et à soutenir la Galerie Triangle dans ses initiatives. Pour plus d'informations, visitez leur site ou suivez-les sur les réseaux sociaux.Bravo à Nadège pour son travail et ses engagements forts ! L'ETPA est fière de compter parmi ses anciens élèves des personnalités qui agissent pour de belles causes à travers leur passion pour la photographie.  © Tobias Canales© Collectif Phosphore (Sarah Witt & Matthieu Fares)© Théo Giacometti© Dana Tentea© Nicolas Serve© Maxime Riché   

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Retour sur le Grand Prix Photo ETPA 2024

01 juillet 2024

Le 27 juin 2024, nous avons une fois de plus vibré au rythme des créations de nos étudiants lors du traditionnel Grand Prix Photo. Cet événement annuel, devenu un rendez-vous incontournable pour les professionnels et passionnés de photographie, a été témoin d'œuvres marquantes, témoignant du talent et de l'engagement de nos étudiants.Les 6 lauréats de Grand Prix Photo 2024, ©Cécile DomenechUn grand cru 2024Cette année, le Grand Prix Photo a été un véritable grand cru, avec un taux de réussite de 100% au titre RNCP (Répertoire national des certifications professionnelles). Les sujets abordés ont été à la fois passionnants et engagés, reflétant les préoccupations sociétales actuelles tout comme les expériences personnelles et intimes de nos étudiants. Les Lauréats de l'édition 2024Mentions Spéciales :Le jury a décerné des mentions spéciales à plusieurs étudiants pour la qualité de leurs travaux :Pierre De Coninck : Mention SpécialeFrançois Laurent : Mention SpécialeHippolyte Cail : Mention SpécialeLauren Cameron : Mention SpécialePrix Spécial du Jury :Le prix spécial du jury a été attribué à Nicolas Grimoin reconnaissable en un coup d'œil par son style noir et blanc très contrasté. Les sujets abordés par Nicolas sont intimes et engagés à la fois comme pour son Documentaire portant sur l'écovillage de Pourgues en Ariège. Pour ce projet mon but est de photographier ce lieu en constante évolution avec des portraits, natures mortes et des scènes de vie dans une atmosphère poétique pour évoquer la fragilité de ce mode de vie.© Nicolas Grimoin© Nicolas GrimoinLe Grand Prix Photo décerné à Pablo GubitschCette remise des prix vient ensuite se clôturer par l'annonce du gagnant de ce Grand Prix Photo : Pablo Gubitsch. Ce prix représente une première reconnaissance majeure dans le milieu de la photographie et constitue un véritable tremplin pour la carrière des lauréats, notamment pour le Grand Prix. Il permettra par la suite d'être exposé au Laboratoire Photon à Toulouse, haut lieu de la photographie. Pablo s'est distingué par des projets profondément personnels et d'actualité, abordant des thèmes tels que la relation avec ses parents, les conditions actuelles des professeurs ou bien le sujet des zones blanches en France en prenant le cas de Nançay, une commune de 800 habitants située dans le Cher.Pour le moment, il semble impossible de raccorder la commune au reste du monde. En cause, le risque d’interférances avec les travaux de recherche d’une station de radioastronomie située à proximité. Inquièts, les habitants qui subissent cet isolement décident de former un collectif pour faire entendre leur voix. De cette lutte similaire à celle d’un David contre Goliath et à l’heure d’une croissance exponentielle du secteur numérique, Nancay souhaiterait enfin basculer dans le 21ème siècle.© Pablo Gubitsch - Le sanctuaire Ses œuvres ont touché le jury par leur sincérité et leur pertinence, succédant ainsi à des lauréats renommés comme Caroline Andrivon, Noémie Lacampion et autres. Remise des prixLa cérémonie de remise des prix a été un moment fort en émotions, réunissant étudiants, professeurs, proches et professionnels de la photographie dans une ambiance studieuse. Les lauréats ont pu présenter leurs œuvres et expliquer leur démarche artistique au public sur place, bien qu'émus par le fait de faire partie des lauréats.Félicitations à tous les lauréats pour leurs réalisations exceptionnelles et leur engagement passionné, ainsi qu'à toute notre promotion 2024 ! Nous sommes impatients de voir leurs futures contributions au monde de la photographie et leur souhaitons le meilleur dans leurs carrières prometteuses.

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